
Gilbert Beaugé est sociologue et historien de l’art. Chargé de   recherches au CNRS (Centre Norbert Elias-Vieille Charité-Marseille) et à   l’EHESS, il s’intéresse depuis une dizaine d’années aux rapports entre   textes et images, des origines à nos jours. En ce moment il travaille   sur les Tentations de Saint Antoine et les images de la monstruosité imaginaire. Dernier ouvrage mis en ligne : « Autopsie d’un acte manqué : l’hommage à Delacroix d’Henri Fantin-Latour », Halshs, 2009.
    Lire son article : Autoportraits de l’artiste en saint Luc peignant la Vierge
Julie Beaulieu termine   actuellement une recherche postdoctorale au Mel Hoppenheim School  of Cinema de l’Université Concordia (Canada). Elle coédite   l’ouvrage de  Rosanna Maule In the Dark Room:  Marguerite Duras and Cinema (Bern : Peter Lang, 2009), une   collection  d’essais sur le cinéma de Marguerite Duras à laquelle elle contribue   avec un  texte intitulé « The Poetics of Cinematic Writing: Marguerite Duras and  Maya Deren ». Elle a publié divers articles dont « Ethnographie,  culture et expérimentations. Essai sur la pensée, l’œuvre et la légende   de Maya  Deren », Cinémas : revue d’études cinématographiques, vol. 19 / n°  1, Automne / Fall 2009, « La  ‘chambre noire’ dans Le Camion de  Marguerite Duras », dans Bryan Stimpson et Myriem el-Maïsi, Marguerite   Duras : écritures, écriture (Caen : Lettres Modernes/Minard, 2007), « Le  théâtre d’une écriture: le cinéma d’India  Song », dans Coulisses, n°  33 (Franche-Comté : Théâtre universitaire/Presses universitaires de  Franche-Comté, 2006), et plus récemment « La  voie/voix féministe durassienne », L’écriture  au féminin : Histoire, apports, enjeux (XIXe  et XXe siècles), Intercâmbio. Revista de Estudos Franceses da  Universidade do Porto (Porto (Portugal), 2010).
Lire son article : Cette voix qui a inspiré Catherine Breillat
Docteure en   histoire de  l’art, Stéphanie Danaux a obtenu en 2004 une bourse de Bibliothèque et   Archives  nationales du Québec pour sa thèse intitulée L’essor du livre illustré au Québec en relation   avec  les milieux artistiques et éditoriaux français, 1880-1940.  Spécialiste de l’histoire de l’illustration, elle poursuit actuellement   ses  travaux en tant que chercheure postdoctorale au sein du groupe « Penser  l’histoire de la vie culturelle » du Centre de recherche  interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ)   de  l’Université de Montréal. Elle   s’intéresse notamment aux livres et journaux illustrés,  aux imprimés pour la jeunesse et aux transferts culturels France-Québec.   Elle a publié divers  articles dans MENS. Revue d’histoire intellectuelle de l’Amérique  française (2005), Etudes canadiennes / Canadian Studies (2008), Revue de  BAnQ (2009)  et Cahiers Daumier (2010). Plusieurs actes de colloque sont également à paraître. Site personnel.
Lire son article : Franges d’autel ou la tentation du livre de luxe au Québec
Benoît Delaune est docteur en littératures générales et comparées,   auteur d’une thèse autour de William Burroughs et du procédé d’écriture   de collage-montage appelé « cut-up ». Ce travail l’a amené à élargir ses   recherches aux arts en général et surtout à la musique, notamment par   le biais d’une approche narratologique. Par ailleurs musicien, il   participe à de nombreux projets dans le champ des musiques dites   nouvelles et improvisées.
Lire son artcile : William Burroughs et le cut-up, libérer les « hordes de mots »
Graphiste de formation (école supérieure d’arts graphiques  Estienne, à Paris) ; Marie-Laure Delmas a obtenu une maîtrise en arts du spectacle, cinéma et audio-visuel (à  Saint-Denis Paris 8). Actuellement en Master 2 de Littérature française (Paris  8), elle travaille sous la co-direction de messieurs Patrick Brasart et Patrick  Wald Lasowski. Elle s’intéresse aux rapports que Sade entretient (directement  ou indirectement) avec l’image, ceux que sa réception tisse entre ses  différentes représentations. Plus largement, ses recherches l’amènent à  réfléchir sur les images et l’imaginaire du 18e  siècle et du tournant des  Lumières.
Elle a participé au Colloque International Théories de la réception et cinéma :  Spectateurs et publics, auteurs et lecteurs qui s’est tenu à l’Université  Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand du 10 au 12 février 2010 : « (S’) adapter,  c’est mourir ? Pasolini, Sade et le cinéma » (les actes du colloques sont à  paraître courant 2011). Elle a également publié « Le fait est certain et cela  suffit : regard des Lumières sur l’eunuque », Dix-huitième siècle,  n°41,  2009, pp.431-447.
Lire son article : Le Spectre et la  camelote. Clichés du roman noir en mouvement
Irène Fabry-Tehranchi est une ancienne   élève de  l’ENS-LSH, agrégée de   Lettres Modernes, elle fait partie du Centre d’Etudes sur le   Moyen Age de Paris 3  Sorbonne Nouvelle et travaille comme Attachée Temporaire d’Enseignement et de Recherche en   Littérature  Française à l’université Paris-Est, Marne la Vallée. Elle a contribué à   la préparation  d’expositions de la Bibliothèque Nationale de France et à la rédaction   du site La légende du roi Arthur.  Dans   le cadre de sa thèse sur les manuscrits de Merlin et de   la Suite Vulgate,  elle publié plusieurs articles portant sur la relation entre Texte et   Images, notamment  « Continuity and Discontinuity : Illuminating and Interlacing the  Adventures of Viviane and Merlin in the Prose  Merlin », Marginalia, the Journal  of the Medieval Reading Group at the University of Cambridge, 3, Illuminations, 2006 ;  « Le   livre de messire Lancelot du Lac : présentation matérielle et  composition des manuscrits arthuriens de Jacques d’Armagnac (BNF fr. 117-120 et  113-116) », 22e  congrès de la Société Internationale   Arthurienne, Rennes, 15-20 juillet 2008 ;  « L’intégration littéraire et iconographique du motif de la descente du  Christ aux Enfers à l’ouverture du Merlin ». Textes sacrés et culture profane : de la  révélation à la création, Oxford : Peter Lang, 2010, pp. 225-258.
Lire son article : « Conment Merlin se mua en guise de cerf » : écrire et  représenter la métamorphose animale 
dans les manuscrits enluminés de laSuite Vulgate
Ancienne élève de l’ENS,  Valérie Hayaert est actuellement coopérante universitaire à l’Institut  Supérieur des Langues de l’Université de Carthage, Tunisie. Auteur d’une  monographie intitulée Mens emblematica et  humanisme juridique : le cas du Pegma cum narrationibus philosophicis de Pierre Coustau, Lyon, Macé Bonhomme 1555,  THR, Droz, 2008, elle poursuit ses recherches sur l’humanisme juridique (Budé,  Alciat, Politien) afin d’étudier le système vexillologique de l’âge moderne à  la lumière de l’invention et de la promotion polémique de ce que fut, dans  l’histoire de la réception du droit romain, le mos gallicus. Le rapport qu’entretinrent les juristes européen à  l’âge moderne vis-à-vis de l’image   constitue un des axes de ce projet.
Lire son article : Calumnia, De famosis libellis et ripostes aux attaques injurieuses : la verve satirique de l’emblème
Aude Jeannerod est en deuxième année de doctorat à l’Université Jean  Moulin Lyon 3 et travaille sous la direction de Jérôme Thélot. Ses   recherches  portent sur la critique d’art de Joris-Karl Huysmans et elle a notamment  collaboré à la Revue d’Histoire Littéraire de la France (« Le   genre  de la critique d’art chez Joris-Karl Huysmans : fiction ou  non-fiction ? », RHLF, fin 2010, à paraître). Agrégée de  Lettres Modernes, elle enseigne actuellement dans le secondaire.
Lire son article : Montrer  l’invisible et dire l’indicible : 
images et langages du divin dans les écrits 
sur l’art de  J. K. Huysmans
Marie Legret est professeur agrégée de Lettres Modernes et  doctorante en littérature comparée à l’Université de Paris IV – Sorbonne   sous  la direction de M. Bernard Franco. Son doctorat a pour titre   provisoire : L’apprentissage  du regard : subjectivité et image dans la narration poétique de Novalis,  Nerval, Rilke et Char. Elle a travaillé deux ans en Allemagne en tant  qu’assistante de Français à la Gaussschule de Braunschweig (Basse-Saxe),   ce qui  lui a également permis d’effectuer plusieurs séjours de recherche auprès de la  Novalis-Gesellschaft à Oberwiederstedt.
  Lire son article : René Char, Pour  une lecture de Recherche de la Base et du  Sommet
Né en 1968 en Angleterre, Harold Manning passe son  bac en France tout en travaillant en cachette comme graphiste dans une salle de  cinéma d'Art et essai. Etudiant à la Sorbonne, il écrit ses premiers scénarios  et filme des courts métrages tout en travaillant chez des distributeurs ou des  vendeurs internationaux (Connaissance du Cinéma, Forum Distribution, Pyramide  Distribution, Pyramide International, Celluloïd Dreams). Il participe dès 1988  à la création et la programmation du festival d’Angers « Premiers Plans ». 
Louis Skorecki le fait jouer dans ses Cinéphiles. Il tient également un petit  rôle dans le récent Mr. Nobody de Jaco Van Dormael.
Son premier long métrage, Loin  du front, est co-réalisé en 1998 avec Vladimir Léon.  Il filme ensuite des documentaires, principalement des entretiens avec des  cinéastes (Sydney Pollack, Robert Redford, Hou Hsiao-Hsien), et découvre le  théâtre en devenant l’assistant de Deborah Warner puis de Robert Wilson. 
Il collabore régulièrement à l’antenne de  France-Inter. En 2005, il tient chez Rebecca Manzoni une chronique de  globe-trotter amoureux des salles de cinéma du monde.
Scénariste ou adaptateur, diplômé de l’Atelier  Scénario de la Fémis, Harold Manning collabore avec Joseph Morder, Tsai  Ming-Liang, Marie-Christine Questerbert, Jaco Van Dormael, Patrice Chéreau.
Il est traducteur de pièces classiques ou  contemporaines, de longs métrages iraniens et de sitcoms américaines. Il a  sous-titré plus d’une centaine de films, dont les récents In The Loop et A  Single Man. Il travaille actuellement à  l’adaptation du nouveau projet d’Ari Folman (Valse  avec Bachir) et au sous-titrage du nouveau film de  Mike Leigh, Another  Year. 
A Paris, il est le traducteur-interprète régulier de  Jim Jarmusch, Ken Loach, David Lynch, Woody Allen, Mike Leigh, Francis Ford  Coppola, Marianne Faithfull, Todd Solondz ou Wes Anderson.
Producteur aux Films de la  Liberté, il prépare le tournage du nouveau film de Vladimir Léon, Les Anges de Port-Bou et un documentaire sur Pascale  Dauman, figure de la production et de la distribution indépendantes françaises.
Catherine Mao est allocataire de recherche à l’Ecole  des Hautes Etudes en Sciences Sociales. Elle prépare actuellement une thèse de  doctorat sur l’écriture de soi en bande dessinée sous la direction de  Jean-Marie Schaeffer au sein du Centre de Recherche sur les Arts et le Langage.  Elle a récemment publié « L’œil et l’oreille dans Faire semblant c’est mentir de  Dominique Goblet : d’un faire-semblant sonore à une esthétique  sonore » dans la publication en ligne Images re-vues. Ses recherches portent notamment sur la pratique du  dessin et sur les caractéristiques articulatoires de la bande dessinée,  intervenant sur les modalités du récit de soi.
Lire son article : La syncope ou le désir d’image dans la bande  dessinée
Marianna Marino est doctorante en co-tutelle à  l’Université de Palerme et à l’Université de Paris Ouest-Nanterre-La Défense. Sa  thèse, intitulée « Jacques Garelli : la poésie comme paysage de  l’être » est dirigée conjointement par Maria Teresa Russo et par Jean-Michel  Maulpoix. Elle a notamment publié « La poesia come question du lieu. Su Les Donneurs de noms di  Jacques Garelli »,  Condividere il  Mediterraneo : studi e  ricerche, a cura di Giuliana Costa Ragusa e Laura Auteri, Palermo, s.n.,  2008, pp. 37-51 ; « Une  création continue : expérience de la poésie dans l’œuvre de Jacques  Garelli », Loxias,  n° 22,  mis en ligne le 15  septembre 2008, et « Présences/puissances de l’image », Acta  Fabula, Mars-Avril 2007 (volume 8, numéro 2).
Lire son article : Les mots et leurs visages Sur L’invisible parole de Pierre Chappuis
Claude  Reichler est professeur de littérature française et d’histoire de la culture à  l’Université de Lausanne. Il a été professeur invité dans plusieurs universités  aux Etats-Unis et en Europe. Il a été fellow du National Humanities Center  (Etats-Unis) et de la Japanese Society for the Promotion of Science. Ses  domaines de recherches sont la littérature française et l’histoire de la  culture. Il s’est intéressé particulièrement aux récits de voyage : d’une part  aux voyages en Amérique et aux descriptions des contacts entre voyageurs et  indigènes ; d’autre part aux voyages en Suisse et dans les Alpes. C’est à  partir de là qu’il s’est occupé de paysage. Il dirige aujourd’hui deux équipes  de recherche dans ce domaine : « Le paysage : perceptions,  représentations, théories » à l’Université de Lausanne ; et « Le  bon air des Alpes » au Fonds national de la recherche (projet PNR 48).
Lire son article : Un envoûtement par l’image. Usage  et critique de l’image dans le prisme de la Montagne magique
Anne  Reverseau termine un doctorat de littérature française sur les rapports entre  la poésie et la photographie à l’époque moderniste (dir. Michel Murat) à  l’Université Paris-Sorbonne où elle a enseigné en tant que monitrice et ATER.  Fondatrice du groupe de recherche « La poésie au carrefour des arts » (www.poesie-arts.com), elle a co-organisé le colloque « Poésie et médias  au XXe siècle » (octobre 2008 – Paris IV et Celsa), publié des  communications sur la poésie moderniste, le surréalisme et les pratiques  photographiques dans Fabula, Ludions, Critique et est intervenue dans différents séminaires de Paris IV,  Paris III, ENS, EHESS ainsi qu’aux USA. En 2009, elle a obtenu le prix de la  Fondation des Treilles.
Lire son article : Breton,  Man Ray et l’imaginaire photographique de la magie
Michèle  Rosellini est maître de conférences en littérature française du XVIIe siècle à  l'Ecole normale supérieure Lettres et sciences humaines de Lyon. Liste de ses publications.
Lire son article : Le Lion et la Souris : deux usages politiques de l’animal dans les Fables de La Fontaine
Andrea  Schincariol (San Vito al Tagliamento, 1978). Doctorant à l’Università degli Studi di Udine  (Italie), sous la direction d’Alessandra Ferraro et en co-tutelle de thèse avec  l’Université Toulouse-Le Mirail, sous la direction de Guy Larroux et M. Philippe  Ortel. Il travaille à une thèse intitulée Naturalisme et photographie.  L’influence invisible du dispositif photographique sur le roman d’Emile Zola,  Guy de Maupassant, Joris-Karl Huysmans et Henry Céard. Il collabore avec  les revues Il bianco e il nero (publication attachée au département de  langues étrangères de l’Università de Udine) où il a publié « Ridere a  tempo. Appunti sul rapporto tra tempi verbali e ironia in alcuni racconti di  Robert Caze » (n° 9, 2007) et « Double reflet. Présence(s)  du double dans la nouvelle « Le Horla », de Guy de Maupassant » (n° 11, 2009); et Ponts/Ponti – Langues littératures civilisations des Pays  francophones. Il figure parmi les collaborateurs de la section  photographique (dirigée par Roberto Del Grande) des catalogues de Palinsesti (éditions 2008 e 2009), manifestation internationale d’art contemporain de  San Vito al Tagliamento. Il a participé au colloque international Censures.  Les violences du sens (Aix en Provence, Maison méditerranéenne des Sciences  de l’Homme, 18-19-20 novembre 2008), avec une communication au sujet de la  réception du dispositif photographique au sein de l’institution universitaire  française. Récemment, il a présenté une communication intitulée « Nana  3D » en occasion de la journée d’étude Spazi, luoghi, paesaggi (Bologna,  Dipartimento Lingue e Letterature Straniere Moderne, 23 settembre 2009). Il  a  enfin participé à la journée de Ricerche  dottorali di Francesistica in Italia, organisée par la SUSLLF (Société  universitaire d’études de langue et littérature française, Pescara, 27 novembre  2009) avec une communication sur « L’influenza ‘invisibile’ del  dispositivo fotografico sul romanzo naturalista », en cours de publication  sur la revue télématique Publif@rum de l’Università di Genova.
Lire son article : Malheur à ceux qui ratent une  photographie. Ou Le Horla comme dispositif  photographique
Emma Viguier est artiste  plasticienne, docteur en arts plastiques et enseigne en tant qu’ATER au  département arts plastiques-arts appliqués de l’Université de Toulouse II – Le  Mirail ainsi qu’à l’IUFM de Toulouse. Elle a soutenu sa thèse en 2008 intitulée :  Corps à Corps : corps,  écriture, photographie. De la mise en signes à la mise en scène, l’exploration  d’une pratique artistique ; thèse qui interrogeait la quête d’un  primitivisme fantasmé du  corps à travers son   « artialisation » scripturo-picturale et sa mise en scène  photographique. Ses recherches à la fois plastiques et théoriques se  concentrent sur les pratiques du corps (rituelles et artistiques), sur  l’anthropologie des écritures tégumentaires, sur l’archaïque contemporain. Elle  travaille également sur la problématique du graphein ainsi que sur la calligraphie asémique. 
Derniers articles : « Pratiques du corps  et tentations de l’Origine », Figures de l’art, Revue d’études esthétiques, n°18, « L’archaïque contemporain », à  paraître ; « Corps-dissident, Corps-défendant : le tatouage, une  "peau de résistance" », Amnis,  Revue internationale de civilisation contemporaine, n°9, « Faire  face : pratiques de résistance dans les sociétés contemporaines  Europe-Amérique », 2009, AMNIS, Revue de civilisation contemporaine Europes/Amériques.
  Lire son article : Henri  Michaux : à la recherche du « texte primordial »
Myriam White-Le Goff est Maître de Conférences en  la langue et la littérature médiévales à l’université d’Artois à Arras. Sa  thèse Changer le monde, réécritures d’une légende (Paris, Champion,  2006) portait sur la légende du purgatoire de saint Patrick. Elle est également  l’auteur d’un Envoûtante Mélusine (Paris, Klincksieck, 2008) et de  nombreux articles qui traitent, entre autres, des points de rencontre entre  réel et imaginaire ou de la question du merveilleux. Elle a co-dirigé  différents colloques et volumes d’actes. Elle s’intéresse aussi à la réception  du Moyen Age jusqu’à nos jours, notamment aux travers des activités de  l’association Modernités Médiévales.
Lire son article : De quelques marges de manuscrits arrageois : le texte au défi de  l’image
Marie-Jeanne Zenetti enseigne à l’Université de Paris 8 -   Saint Denis. Elle poursuit une thèse de doctorat en littérature comparée   et travaille notamment sur la notion d’enregistrement en littérature,   ainsi que sur les rapports entre littérature et photographie.
Lire son article : Ecrire  avec et contre l’image, dispositifs de l’enquête mémorielle dans Récits  d’Ellis Island, histoires d’errance  et d’espoir de Georges Perec et Robert Bober et Les Emigrants de  W. G. Sebald
Cahier d’artiste : Julie Sorin est née à   Nouméa en 1978. Elle vit et travaille à Saint-Etienne et à Nouméa. Elle est diplômée de L’Ecole régionale des Beaux-Arts de Valence et de l’Ecole nationale des Beaux-Arts de Lyon. Depuis 2001, elle expose à Valence, Villeurbanne, Lyon, Tourcoing, Copenhague.
  Voir : Gone With The Wind
