De l’illustration comme transgression
- Anne-Marie Christin
Rio/Belo Horizonte, août 2009
Fig. 1. Affiche de la conférence
Fig. 2. Page 1 du manuscrit dactylographique
annoté de la main d’Anne-Marie Christin
Note éditoriale
Le texte de cette conférence, prononcée par Anne-Marie Christin le 19 août 2009, au Brésil à l’université de Minas Gerais (fig. 1), nous est parvenu sous la forme d’un texte dactylographié scanné.
Ce document comportait deux types de notations manuscrites autographes : des marquages rythmiques pour accompagner l’énonciation orale, et quelques notes textuelles situées dans la marge (fig. 2). Nous avons choisi de retranscrire les ajouts manuscrits d’Anne-Marie Christin en note de bas de page avec la mention [ajout marginal] ou, quand il s’agissait de simples mots-outils, dans le texte, entre crochets []. Par fidélité à l’archive, il nous a semblé préférable de ne pas intervenir sur le texte lui-même : aucun mot n’a été ajouté ou corrigé, seules les mentions d’appel de figures ont été revues pour la publication dans ce numéro de Textimage. La publication que nous proposons reproduit donc le texte tel qu’il nous est parvenu mais elle ne reproduit pas les données matérielles du document notamment ses marquages graphiques.
A ce document étaient en outre associées une cinquantaine d’images transmises sous forme d’un diaporama en pdf que la chercheuse a projeté lors de la conférence et que l’on pourra télécharger en bas de cette page pour le consulter au fur et à mesure de la lecture. Nous avons choisi de conserver cette présentation dans sa facture intermédiaire en ajoutant, pour aider le lecteur à se repérer, en guise de légendes, les passages de la conférence où se situait l’appel de figure. La recherche d’une iconographie plus complète aurait déformé l’approche de ce document de travail destiné à une lecture orale et non achevé, comme l’est habituellement un document académique conçu en vue d’une publication et pourvu d’une iconographie complète.
Nous avons ainsi cru respecter l’état imparfait de cette archive qui nous a été transmise par notre collègue Márcia Arbex-Enrico que nous souhaitons vivement remercier de sa confiance [1].
Les éditrices.
[1] La publication de cet inédit a été autorisée par le représentant des ayants-droits d’Anne-Marie Christin, Guillaume Fouvet, que nous remercions également.