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Mercus, Atelier Jacques Dégeilh

Tous les ans, au printemps, je vais sous les cerisiers en fleur, en fait, ce sont des merisiers.
Je ramasse le bois mort tombé au sol durant l’année écoulée.
Je brûle ce bois mort.
Je garde ce charbon de bois.
Je broie ce charbon de bois en pigment fin.
Puis je redonne progressivement ce bois brûlé-broyé au vent en présence des éléments du milieu [10].

[10] Jacques Dégeilh, Peinture. L’empreinte d’une relation. EcoGraphie ou EcoExpressionnisme, autopublication, 2017, p. 25.